
SUCRE. Le propos de cette création est de laisser aller les évocations contradictoires issues d’un seul et même mot. A partir d’un seul mot, nous créons un tourbillon créatif. Nous ne racontons pas d’histoire mais comme autour de L’Arbre, nous tournons autour constamment : aller-retours, refrains corporels, rituels, font naître des esquisses de sensations diverses autour de ce mot « Sucre » , qui condense finalement la nature de l’humanité, capable du pire comme du meilleur.
SUCRE – «An ice cream for a nice crime » puise dans ce qui divise, rapproche, dit et questionne nos relations aux autres hommes, aux cultures, à la mémoire et à l’avenir.